Oh toi, mon absente...
Elle a longtemps cherché à la remplacer,
De son salut, elle comptait sur l’amitié.
Mais personne ne peut prendre sa place,
Dans son cœur abandonné si tôt, hélas !
Souvent, elle se sent mélancolique,
Sans raison, elle se cache, c’est pratique,
Derrière un joli sourire de circonstance,
Tout le monde s’en fout, quelle importance !
Pourtant, son malaise se plante là,
Dans son ventre, sale stress te voilà !
A chaque instant de déconvenue,
Que faire ? Elle se sent tellement nue.
Un réflexe face à son gouffre affectif,
Besoin d’une épaule, d’un être attentif.
Mais qui devrait tenir ce rôle protecteur ?
Allons, sois honnête et ouvre ton cœur !
Elle n’a pas voulu de ce vide amer,
Elle a juste besoin de sa mère…