Alerte à la grippe cochonne !
J'ai envie de pousser mon cri : HAAaa ! Il y en a marre !
Ras le bol qu'ils nous bassinent partout avec cette grippe ! Maudit virus ! Qu'il soit du cochon ou de la poule : sale bête ! C'est qu'à force de nous endoctriner avec le lavage des mains, les masques, les éternuements dans les manches, c'est qu'on en deviendrait presque malade !
Je ne comprends pas, comment faisions-nous les années précédentes ? Comment avons-nous fait jusque-là pour éviter sa sournoise approche ?
C'est que cette dernière nous a pris par surprise cette année.
Et oui, d'habitude, la grippe est pondue par la poule asiatique en milieu favorable : fiente, pipi, déchets de toute sorte, insalubrité, hum... un vrai bonheur ! Du coup, le temps qu'elle arrive parmi nous, pays dits civilisés, nous avions de la marge pour nous préparer, étudier le nombre de ses victimes et voir son évolution, un délai suffisant pour fabriquer un vaccin adéquat.
Mais malheur ! Cette année, la capricieuse a décidé de changer de lieu et de méthode de prolifération. Quoi de plus semblable une poule d'un cochon ?... Mouais, pas gagné pardi... Ah ! C'était sûrement presque aussi sale que les villages reculés d'Asie... C'est-à-dire que c'est pas mal aussi la chaleur mexicaine ! Seulement voilà, si en plus de muter en permanence, il se met à changer de bord et à voyager ce cochon de virus, comment voulez-vous que l'homme s'en sorte ? Ajouter à cela nos chers lobbyings pharmaceutiques qui ne savent plus quoi faire des méga doses de tamiflu et autre vaccin préparé à la hâte, quoi de plus normal que de nous bourrer le crâne pour écouler les stocks ? Dites, les antibiotiques, c'est pas automatique, mais la campagne de prévention devient systématique... Et Oh ! C'est que ça coûte la recherche et en ces temps de crise, il faut bien rentabiliser.
Il ne manquerait plus que ça que nos holdings se cassent encore la gueule en bourse !
Ras le bol qu'ils nous bassinent partout avec cette grippe ! Maudit virus ! Qu'il soit du cochon ou de la poule : sale bête ! C'est qu'à force de nous endoctriner avec le lavage des mains, les masques, les éternuements dans les manches, c'est qu'on en deviendrait presque malade !
Je ne comprends pas, comment faisions-nous les années précédentes ? Comment avons-nous fait jusque-là pour éviter sa sournoise approche ?
C'est que cette dernière nous a pris par surprise cette année.
Et oui, d'habitude, la grippe est pondue par la poule asiatique en milieu favorable : fiente, pipi, déchets de toute sorte, insalubrité, hum... un vrai bonheur ! Du coup, le temps qu'elle arrive parmi nous, pays dits civilisés, nous avions de la marge pour nous préparer, étudier le nombre de ses victimes et voir son évolution, un délai suffisant pour fabriquer un vaccin adéquat.
Mais malheur ! Cette année, la capricieuse a décidé de changer de lieu et de méthode de prolifération. Quoi de plus semblable une poule d'un cochon ?... Mouais, pas gagné pardi... Ah ! C'était sûrement presque aussi sale que les villages reculés d'Asie... C'est-à-dire que c'est pas mal aussi la chaleur mexicaine ! Seulement voilà, si en plus de muter en permanence, il se met à changer de bord et à voyager ce cochon de virus, comment voulez-vous que l'homme s'en sorte ? Ajouter à cela nos chers lobbyings pharmaceutiques qui ne savent plus quoi faire des méga doses de tamiflu et autre vaccin préparé à la hâte, quoi de plus normal que de nous bourrer le crâne pour écouler les stocks ? Dites, les antibiotiques, c'est pas automatique, mais la campagne de prévention devient systématique... Et Oh ! C'est que ça coûte la recherche et en ces temps de crise, il faut bien rentabiliser.
Il ne manquerait plus que ça que nos holdings se cassent encore la gueule en bourse !